Sans langue de bois

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approbation de l’assemblée.!!!.. applaudissement.!!!..aucun signe de désapprobation…???
DINGUE.

une jeunesse perdue

une France sacrifiée

la réalité sera dévastateur pour ces jeunes

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Le Sri Lanka a imposé l’agriculture bio il y a un an dans le but d’ameliorer sa balance commerciale et de reduire ses dépenses de santé.
Un an après :

  • les rendements des deux cultures principales du pays - le riz et le thé - ont chuté dramatiquement.
  • la flambée des prix des denrées alimentaires n’a pas épargnée le Sri Lanka.

La décision gouvernementale d’interdire les importations d’engrais et de pesticides a eu comme conséquence un accroissement important des importations de denrées alimentaires et cela arrive juste au moment où le prix de ces produits augmente fortement…
Le Sri Lanka n’est plus en mesure de payer sa dette et est incapable d’acheter quoique ce soit à l’extérieur.
L’agriculture bio n’arrivera pas à nourir le Sri Lanka et n’arrivera pas à nourrir
le monde.
Les pays riches peuvent s’offrir du bio, mais avec la baisse de rendement qu’elle entraine cela mène à l’insécurité alimentaire.
Le passage à l’agriculture bio à grande échelle ( un pays tout entier ou une grande zone géographique) par la baisse des volumes qu’elle entraine est difficile à mettre en œuvre sans créer de l’insécurité alimentaire.
Par contre une production bio rentable dans une économie développée reste un projet tout à fait envisageable.

Production de riz du Sri Lanka

Importations d’origines australiennes de blé et de lentilles.
Il faut tout de même souligner que l’Australie a certainement pu se placer en blé grâce à un prix très compétitif et cela explique une partie de l’augmentation des volumes en blé.

Article complet :https://www.thomaseldermarkets.com.au/market-insights/organic-farming-doesnt-work-at-large-scale/

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